Rejet dans l’océan de l’eau traitée à Fukushima: un 14e lot encore une fois bien en dessous de la valeur de référence
Des prélèvements d’échantillons indépendants et des analyses effectuées par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ont confirmé que la concentration en tritium contenue dans le 14e lot d’eau diluée et traitée issue de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se situait sensiblement en dessous des exigences réglementaires en vigueur dans le pays.

In einem umfassenden Bericht, der am 4. Juli 2023 vor Beginn der ersten Ableitung veröffentlicht worden war, kam die IAEO-Sicherheitsprüfung zum Schluss, dass der japanische Plan zum Umgang mit dem behandelten Wasser den internationalen Sicherheitsstandards entspricht und die geplante Ableitung nur eine v
Lors de l’accident de la centrale de Fukushima-Daiichi, qui a fait suite à un séisme puis à un tsunami, au total 1,3 million de mètres cubes d’eau se sont accumulés dans quelque 1000 réservoirs de stockage. Cette eau, traitée et fortement diluée, est réintroduite dans l’océan Pacifique depuis le 24 août 2023. L’AIEA effectue des analyses d’échantillons de l’eau de manière indépendante de l’exploitante Tokyo Electric Power Company (Tepco).
D’après l’agence, le 14e lot d’eau traitée dans l’installation de retrait des radionucléides (Advanced Liquid Processing System, ALPS) en provenance de la centrale de Fukushima-Daiichi présente, lui aussi, une concentration en tritium sensiblement inférieure à 1500 becquerels par litre (Bq/l). À titre de comparaison: la valeur limite prescrite par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’eau potable s’établit à 10’000 Bq/l. Au cours des prochaines décennies, Tepco continuera à rejeter l’eau traitée dans l’ALPS dans le cadre de plusieurs lots.
Dans un rapport détaillé publié le 4 juillet 2023, soit avant le début du premier rejet d’eau dans l’océan, l’examen réalisé par l’AIEA avait montré que le plan japonais de gestion de l’eau contaminée était conforme aux normes de sécurité internationales et que le rejet de l’eau prévu alors n’aurait que des conséquences radiologiques négligeables sur l’homme et l’environnement.
Source
MM.A./C.B. d’après un communiqué de l’AIEA du 7 août 2025