La Chine et le Canada développent conjointement du combustible Candu

Le Nuclear Power Institute of China (NPIC) et l’Energie atomique du Canada limitée (EACL) ont signé une déclaration d’intention dont le but est de développer conjointement en Chine du combustible nucléaire permettant de réduire la consommation d’uranium des réacteurs Candu avancés.

6 févr. 2008

La déclaration d'intention qui vient d'être signée offre le cadre de projets conjoints menés en Chine en matière d'ingénierie, de conception technique, de recherche et développement et de projets de démonstration. Il s'agira non seulement de la diminution de la consommation d'uranium des systèmes Candu, mais aussi de technologies de combustion avancées telles que le recyclage dans des réacteurs Candu d'uranium de retraitement provenant de réacteurs à eau sous pression, et les systèmes de production nucléaire de la quatrième génération.

Le NPIC est domicilié dans la mégapole de Chengdu, capitale de la province de Sichuan, dans le centre de la Chine. L'Institut fait partie de la China National Nuclear Corporation, qui mène déjà avec l'EACL plusieurs projets conjoints de développement. On sait que l'extension du programme nucléaire de la Chine ne repose pas seulement sur la technologie des réacteurs à eau légère, mais que ce pays exploite depuis 2002/2003 déjà les deux tranches Candu 6 de Quishan III-1 et III-2 (2 x 650 MW, PHWR).

Source

P.B./C.P. d’après un communiqué de presse de l’EACL du 11 janvier et NucNet du 14 janvier 2008

Restez informé-e!

Abonnez-vous à notre newsletter

Vers l’abonnement à la newsletter

Profitez de nombreux avantages

Devenez membre du plus grand réseau nucléaire de Suisse!

Les avantages en tant que membre